A tous les indignés d’internet…j’ai un mot à vous dire.

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Ceux qui derrière leur écran se sentent suffisamment puissants pour venir cracher leur venin. Alors que s’ils étaient en face de toi ils n’auraient pas dit la moitié de ce qu’ils osent écrire. A tous les indignés qui trouvent toujours quelques chose à redire à ce que je vous partage, et qui se sentiront bien important en lisant cet article. A vous qui, sous prétexte que je tiens un blog et une page facebook, me disent que je me dois d’être neutre, et de ne rien ressentir. Bref, pour vous chers indignés, je me suis accordé 10 minutes pour vous répondre une fois pour toutes.

Quand je joue l’ironie en parlant de mes enfants

Cela ne veut pas dire que je ne les aime pas, bécasse ! Je les aime à en crever ces mômes. C’est ma vie, mon oxygène, blablabla. Mais j’ai suffisamment de recul et d’auto-dérision pour rire de certaines situations. D’en tirer le côté loufoque, et de vous le raconter d’une façon un peu marrante, pour vous faire marrer donc. Mais pour comprendre ça, il faut soi-même posséder ce qu’on appelle, de L’HUMOUR, et bon, je veux pas te vexer mais t’as l’air aussi drôle que Donald Trump. Et franchement il est pas drôle.

Quand je sors des sujets habituels

Oui, c’est vrai, dans Club Mamans, il y a Maman. Mais une maman peut parler de plein de choses. Et attention, tiens toi bien, elle peut penser, ressentir et avoir envie de partager ces choses. Donc quand on me tombe dessus parce que je parle d’un fait d’actualité qui m’a touché, et qu’on me dit que je ferais mieux de rester à ma place. J’ai envie de te dire “où est ma place ?” et encore mieux ! “qui es-tu TOI, petite indignée, pour me dire ce que j’ai le droit de dire ou de faire ?”. Ne réfléchis pas trop, je vais te répondre : tu es personne. A partir du moment où tu ne sais pas t’exprimer sans mépris et jugement, alors tu représente le néant pour moi.

Quand tu me signales que tu vas quitter la page

Alors ceux là, c’est les champions. Ils sont là à t’attaquer sur 15 messages, puis finissent par te dire que “gnagnagna de toute façon je me désabonne !” Alors déjà, sache que vous êtes 117 000 abonnées sur cette page, ça pose le contexte tu vois. Ensuite, je ne vois pas l’intérêt de prévenir quand tu pars. C’est comme ces personnes chiantes qui font la gueule, et qui, pour être sûre que tout le monde a bien capté qu’elles faisaient la gueule, viennent le crier sur tous les toits. C’est en général ces mêmes personnes qui mettent des statuts facebook du style “J’en ai ma claque !!!!!” avec plein de points d’exclamation, et qui te répondront “J’AI PAS ENVIE D’EN PARLER” quand tu leur demanderas (par politesse) ce qu’il ne va pas. Putain mais on s’en fout ! Faites la gueule, barrez vous, emportez vos mauvaises ondes avec vous et ne revenez surtout pas !

Quand on me reproche de ne pas accepter la critique

Sachez que j’accepte la critique quand elle est constructive. Censée et pertinente. Quand on a bien compris ce que je voulais dire mais qu’on est pas d’accord. Là mon ami tu peux critiquer, j’encaisse et j’adore même le débat que cela peut engendrer. Mais alors les gens qui lisent en diagonale ce que tu a mis, et qui viennent t’attaquer sur ce qu’ils ont compris, au secours ! Je ne suis pas responsable de l’interprétation que vous en ferez. Si ça vous chiffonne autant, demandez des précisions et on pourra échanger. Et au pire, passez votre chemin, il y a une multitudes de publications, de pages Facebook, de blogs, etc. PASSEZ VOTRE CHEMIN.

Et enfin, à tous ceux qui sont là et qui me comprennent 

Un grand merci. J’aime tellement nos échanges, nos délires. Je suis tellement contente de voir que mon humour (de merde parfois) fait écho en vous. j’adore vous partager toutes ces choses et j’espère que vous serez là longtemps. Cœur sur vous.

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